Promenade

Amalya venait de se réveiller dans sa petite maison dans la campagne. Elle ne vivait pas au village réellement car elle n'aimait pas vraiment la compagnie de gens superficiel ou bien désagréable qui passaient leur temps à jacasser sur tout et rien. Non, elle aimait être seule et observer le soleil poursuivre son inlassable course dans le ciel mais aussi à manier seule les armes sur des manequins de paille qu'elle fabriquait pour elle-même.

Alors qu'elle finisait de se vêtir convenablement, ce qui voulait dire une robe beige au corset noir, elle quitta sa peite maison en pierre au toit de chaume et alla se promener.

Dans les champs, les vents doux fessait douger grâcieusement les blés et l'orge qu'elle avait fait poussée. S'aventurant plus loin qu'à l'habitude, elle ne vit pas le fossé droit devant elle et y tomba. La malheureuse, elle ne pouvait en sortir car elle s,était casser la cheville en tombant et que le fossé en question était bien trop creux pour qu'elle ne grimpe hors. Deplus, même si elle voulu tenter une quelqu'onque escalade, cela n'aura pas fonctionner car les paroie était trrop glissante.

Anara arriva doucement menant du bruit du a ses accesoires quelle avait sur son dos quand tout a coup elle vit le ravin elle s'Approcha doucement et elle y appercus une fée elle souria doucement et elle se réapprocha de son sac et y sortit une corde ne voulant pas s'avanturé dans se trou immence elle fit glissé la corde le long de la paroi et elle cria :

Acroche toi !

Je vais te hissé !

Amalya commençait à se morfondre dans son fossée et bientôt, sa cheville enfla et si on ne fessait rien pour elle, elle ne pourrait plus jamais l'utilisée. Ses ailes était devenue inutile dû à la chute et une douleur au poignet l'empêchait de faire le moindre geste.

Pendant un moment, elle n'eu aucun mouvement de douleur, puis tout à coup, un élancement pas croyable la traversa. Elle ne pu gardée un crit de douleur, son mal, apparament, s'était rendue dans sa jambe entirère...

Soudainement, un visage, au-dessus du goufre, apparût. Amalya était soulagée et soupira d'aise. La femme, quelle qu'elle soit, lui envoya une corde. Tout de suite, la fée s'accrocha à elle et se l'enroula autour de sa fine taille.

- Je suis bien accrochée, lui dit-elle en lui souriant.

Anara souria et elle la hissa sur le rebord de la paroi et elle la déposa sur la terre ferme et dit :

-Sa va ?

Anara souria et dit :

Se n'Est rien !

Puis elle souria et elle dit :

Je suis vraiment désolé mais je doit y allé !

puis elle se modiya la lèvre et disparus aussitot